Un éléphant ça trompe énormément

Nous irons tous au paradis

L’Eléphant, d’Yves Robert, c’était lui. Un éléphant qui ne se trompait pas, qui vous regardait bien en face.

Gilles Jacob

Et Boum ! Claude Espinasse, dit Claude Brasseur, a rejoint Jean, Victor, et puis Guy, une bande à part à retrouver ici. A son tour, il a franchi les portes de la nuit.

34 réflexions sur “Un éléphant ça trompe énormément

  1. ça va être la fiesta au paradis 🙂 … et à nous de découvrir les autres perles cinématographiques, cinéastes, acteurs, actrices, scénaristes… qui se sont nourris de ce qui a été fait pour créer et innover et d’autres s’en nourriront à leur tour… Et vos articles sont vraiment top ! merci, très bonne journée et très bonnes fêtes

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    • Merci beaucoup,
      Oui, il y aura toujours beaucoup à prendre et à apprendre de ces acteurs et de ces actrices, de tous ces films qui nous ont ravis. Ils étaient aussi des chroniques de leur temps, un état d’esprit, et c’est à chaque vision comme une fenêtre sur le passé qui s’ouvre sous nos yeux.

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  2. Quels excellents films, quand le cinéma français savait raconter des histoires simples (en référence à un film de Claude Sautet), limpides… Ils vont beaucoup nous manquer, tous ceux-là, qu’ils se reposent bien dans leur paradis pour éléphants (ils méritent au moins cela).

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  3. Bonjour princecranoir, cela m’a fait quelque chose d’apprendre sa disparition. Pour moi Brasseur, c’était Vidocq à la télé. Vu et revu. Et dans Le souper (dans le rôle de Fouché) avec Claude Rich (dans le rôle de Talleyrand) au théâtre. Un régal. Et puis il faisait partie d’une dynastie d’acteurs sur quatre génération. 2020 sera une année à oublier très vite. Bon réveillon de Noël quand même.

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    • Bonjour,
      J’avais eu la chance de le voir sur scène dans ma jeunesse dans le rôle de Georges Dandin. Un très bon souvenir. Et puis bien sûr François Vidocq, et ce générique devenu mythique.
      Fils de Pierre Brasseur et Odette Joyeux, il avait vu défiler les plus grands : Jouvet, Franju, Carné, Guitry,… Il a même débuté avec eux.
      Un de mes souvenirs d’enfance avec Claude Brasseur, étonnamment, c’est dans Le Viager de Pierre Tchernia où il joue le rôle de Noël Galipeau. 😀

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    • « Il y a trop peu de films qui font du bien pour les manquer. » disait Brasseur à son agent qui était réticent à le voir interpréter le rôle d’un homosexuel. Un grand acteur en effet, qui ne reculait devant un rien pour un bon rôle.

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  4. … puis l’enfer etc etc (oui je connais mon petit Durringer par coeur)
    Cela fait toujours quelque chose, et en même temps, à cette époque pas très bénie, on se surprend à être soulagée que certains partent pour d’autres raisons que cette fichue pandémie, comme un petit pied d’nez final.
    Il va falloir que je m’abonne à Madelen, j’ai envie de revoir Les nouvelles aventures de Vidocq !

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