PREY

Pas une gueule de porte-bonheur

« Qu’importe le danger
Je l’affronterai
Qu’importe le nombre de flèches
Je les traverserai
Mon cœur est viril ! »

Chant du guerrier Crow

Depuis les fameux trophées rapportés sur son île par le Comte Zaroff dans les années 30, le cinéma rouvre périodiquement la saison de la chasse à l’homme. Un de ces jeux les plus dangereux reste peut-être celui qui opposa le « Predator » tombé du ciel à un groupe de mercenaires surarmés et lourdement testostéronés dans un film primal et remarqué signé John McTiernan. La Terre étant devenue son terrain de chasse privilégié, nombreux furent les giboyeurs à vouloir le croiser à toutes les sauces et même à d’autres espèces. Le dernier en date se nomme Dan Trachtenberg, réalisateur connu pour son très confiné « 10 Cloverfield Lane ». Suivi de près par les grands manitous de la Fox, il part à la conquête des Grandes Plaines, à la rencontre du grand « oiseau-tempête » et d’une jeune Indienne dont il espère faire une « Prey » plus consistante que les précédentes.

Dans le film original, il y avait ce type, Billy Sole. Son ascendance amérindienne, son côté taiseux et aux aguets faisaient de lui un des membres les plus mémorables de la petite troupe de Schwarzenegger, un éclaireur hors-pair, un brave qui a eu le courage de faire face à son ennemi. C’est peut-être lui que Dan Trachtenberg et son scénariste Patrick Aison avaient dans le viseur lorsqu’ils se sont mis en tête de transposer la franchise Predator au pays des Comanches. A l’instar du premier « Predator » dont l’affrontement renvoyait aux âges sombres d’une humanité primitive, « Prey » mise à sa manière sur un retour aux sources pour mieux effacer les scories de séquelles calamiteuses ou, au mieux, sans intérêt. Trachtenberg s’offre une page vierge pour revitaliser la franchise, se projette dans un écrin naturel magnifique, entre rivières et forêts. La tribu des Comanches y vaque à ses tâches traditionnelles, entre chasse, pêche et folklore sous tipi, dans la paix, l’harmonie et un respect de l’environnement parfaitement surligné par une bande-son ad hoc aux vertus émollientes. Une intrusion bien peu discrète sous couverture nuageuse suffit ensuite à annoncer les complications promises par le sujet du film.

Mais avant d’attraper le furtif Predator par les dreadlocks, Trachtenberg va s’employer à faire le point sur la cruauté en vigueur au sein de la chaîne alimentaire, à cracher le venin de la brutalité animale avant de s’intéresser à celle qui caractérise le genre humain. Cela nous vaudra un passage en revue quasi exhaustif de toute une faune à poil numérique, de bêtes à queue blanche et de reptile agile, bref tout ce qui vole, qui rampe, qui griffe et qui mord dans ces contrées sauvages, allant du grizzli au lion des montagnes, en passant par le loup à l’affût du lapin. Homme versus animal, voilà d’emblée le match très simpliste que propose Trachtenberg en guise d’amuse-gueule. Si ce n’est que, cahier des charges genré oblige, le chasseur sera plutôt une femme en l’occurrence : le rôle de l’héroïne revient à une épatante Amber Midthunder qui, grâce à ce rôle de Naru, va devenir le nouvel emblème de la féminité résiliente et du girl power qui en remontre au virilisme tribal. En plus du spectateur, elle devra impressionner et convaincre son frère aîné Taabe (incarné par l’impressionnant Dakota Beavers) qu’elle manie l’arc et le tomahawk comme un chef, et qu’elle est de surcroit « plus maligne qu’un castor », pleine de perspicacité et de ressources.

La voilà donc partie sur les chemins (elle qui ne sait pourtant chasser sans son chien), promise à la grande confrontation qu’on attend de pied ferme. Sans véritable surprise, elle croisera d’abord la piste de l’homme blanc (quelques mauvais chasseurs français qui ne se contentent pas de gallinette cendrée) avant de finir dans le jeu de massacre orchestré par l’impitoyable extra-terrestre. Il ne reste qu’à compter les corps, à faire le tri des amputés, vilaines bestioles comme méchants bonhommes dont on peine parfois à comprendre l’obstination face à la puissance de l’antagoniste. Plutôt que de logiquement chercher à fuir face à la menace qui défie l’entendement, humain comme animal semble absolument vouloir en découdre, comme un cri d’orgueil que le « Démon » va naturellement étrangler dans le sang et la souffrance animale. Les affrontements chorégraphiés comme chez Marvel en jettent, c’est certain, mais n’impressionnent jamais dans ce décor naturel aux allures de Predator Park.

Si Trachtenberg laisse derrière lui la cave exiguë de « 10 Cloverfield Lane », il n’en reste pas moins prisonnier d’un territoire, ramené sans cesse vers le village, visitant plusieurs fois les mêmes lieux (le marécage, le camp des trappeurs), piégé par son cahier des charges. Le scénario a la bonne idée de ne s’embarrasser nullement d’une lourde filiation avec les autres volets, mais il ne peut réprimer ici une petite phrase (« si elle saigne alors on peut la tuer »), là un artefact référencé (un pistolet à poudre gravé que l’on a découvert dans « Predator 2 »). Sans doute bridé par les contraintes d’une franchise systématiquement attendue comme le loup blanc, le réalisateur ne parvient jamais à réellement convaincre de sa valeur ajoutée. Non sans peine, seule Amber Midthunder parvient à aiguiser ses griffes dans ce massacre qui rejoint d’autres petits gibiers.

40 réflexions sur “PREY

  1. C’est un peu rare de lire un papier moyennement convaincu, à propos de ce film. Peut-être aussi qu’une grande partie du public a évalué PREY en le comparant aux catastrophes ambulantes des précédents films de la franchise… A force d’être déçu, on finit par se contenter de peu ? Personnellement je ne l’ai pas encore vu (Disney+ pas possible pour moi).

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    • Je n’ai pas Disney+ mais j’ai réussi à me le procurer. Du coup, je n’ai bénéficié que de la VF. Peut-être que le film m’aurait davantage séduit dans sa langue d’origine, d’autant que j’ai lu que le film avait été tourné en langue Comanche tout du long. J’avoue que c’est assez audacieux de la part de Disney/Fox, et c’est peut-être ce qui a éloigné le film des salles où, malgré tout, il méritait de figurer.
      J’ai lu tellement de bons avis que j’y avais peut-être placé trop d’attentes, j’aurais voulu voir quelque chose de plus viscéral, aussi primal et sombre que le film de McTiernan (qui reste un chef d’œuvre insurpassable à côté de « Prey »). Du coup, j’ai trouvé ça trop propre, passé au green karcher, un mélange entre un doc de DisneyNature bidonné au numérique et « The Revenant » avec une dose de « danse avec les loups ». Ok, Trachtenberg fait gicler un peu de sang, fait un peu de découpage anatomique, mais rien de bien palpitant. Et puis ce Predator a beaucoup trop d’armes sur lui, on dirait l’Inspecteur Gadget.
      J’arrête là, car plus j’en parle, plus je trouve ce film mauvais.

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  2. Pour ma part, « Prey » est un très bon film d’action, disposant d’une histoire se déroulant dans un contexte original, d’une intrigue familière et d’un développement classique. Le rythme monte progressivement en puissance, le récit est fluide et la narration est linéaire. La photographie est somptueuse, les effets spéciaux sont excellents, la musique est agréable et le montage est cohérent. La distribution offre de très bonnes prestations, dominée par la superbe performance de la jeune Amber Midthunder alors que Dane DiLiegro fait honneur au regretté Kevin Peter Hall dans le costume de l’extraterrestre. Dan Trachtenberg, le réalisateur, gère très bien sa mise en scène, créant lentement, mais sûrement le suspense et la peur. « Prey » est un digne successeur du Predator original et vient clairement relancer une franchise qui avait basculé dans le grotesque…

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    • D’accord pour la performance de Amber Midthunder, mais concernant celle du gars qui fait le Predator, franchement, je ne vois pas ce qu’il y a d’extraordinaire. Il se contente d’être là, c’est tout. Comme l’était d’ailleurs l’acteur du premier Predator. On ne lui demande pas de jouer.
      Pour le reste, j’aurais aimé être davantage séduit, mais je n’ai pas réussi à adhérer. En fait, je crois que ça a commencé très mal avec cette histoire de traque du lion des montagnes, sorte de bête du Gévaudan pour Indiens à laquelle je n’ai pas du tout cru. Je n’ai particulièrement pas cru à cette faune agressive, caricaturale et surtout fabriquée numériquement. Je préfère un grizzli bien fait dans « The Revenant » à toutes ces bestioles virtuelles qui font n’importe quoi. Et la suite m’est apparue sans surprise et sans intérêt. C’est sans doute moins mal fait que les derniers films de la franchise, mais ça n’a pas beaucoup de valeur pour autant.

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  3. On ne fera jamais mieux que le McTiernan moi j’dis (ok j’ai en plus une tendresse particulière pour le 2 parce que j’aime bien Danny Glover).
    Pocahontas est bien gentille face au Predator du pauvre et son masque de sauterelle, mais mandieu tous ces effets numériques qui te font pleurer des larmes de sang, ça n’est plus possible (ou sinon je l’ai vu en anglais bon teint avec des chasseurs de bison québécois ou belges, c’était pas très clair, je somnolais un peu, j’en ris encore…)

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    • La VO ne sauve pas le film donc.
      Jamais été trop fan du « Predator 2 » mais il se peut qu’un jour je m’y frotte à nouveau.
      Le numérique salit tout je trouve. Et puis, il sont débiles ou quoi tous ces animaux à vouloir absolument montrer les crocs face au costaud ?

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      • Nope. Question actorat, c’est le nivellement par le bas (les trappeurs corneguidouille !). Et question fauve, n’oublie pas que tonton Disney est le mec qui a accouché un jour d’une souris ^^ En tout cas il ne se renie pas, le gentil clebs ne meurt pas à la fin (oups ! J’viens de spoiler)

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  4. Après cette « proie » en mode predator, j’ai tenté comme toi par des chemins détournés le nouveau « Hellraiser ». Que c’est looooooooong. Il y a bien des scènes visuellement fortes, bien sanglantes où les écorchés sont à la fête. Mais entre ces moments gores, il faut se farcir des personnages sans intérêt. Le choix d’une femme transgenre pour interpréter le nouveau Pinhead colle bien avec l’univers SM queer de Clive Barker.
    Tout ça pour dire qu’en matière de suite/remake/reboot, je trouve que la nouvelle trilogie « Halloween » de David Gordon Green s’en est tirée avec les honneurs.

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    • Il me fait peut celui-là. Sur le papier pourquoi pas, mais on est tellement marqué par les visions de Barker et la musique de Christopher Young que la comparaison me semble assez douloureuse. Tu me diras, on est dans le thème en l’occurrence.
      Il faudra peut-être que je redonne une chance à cet « Halloween » par DGG. J’avais été plutôt cruel dans mon article sur le premier volet, si bien que je n’ai jamais persévéré ensuite.

      Halloween (2018)

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  5. Je comprends la critique. Mais j’y ai trouvé pas mal de quélités. Sans réfléchir d’abord, j’ai apprécié l’action, un peu comme quand j’avais vu l’original à 14 ans. J’avais trouvé ça rythmé, dynamique, bourrin et j’avais passé un bon moment, sans saisir qu’un jour, je verrai bien d’autres qualité à ce film. Et pour le coup côté actionner j’ai trouvé ça assez réussi, bien plus dynamique et mieux filmé que les combats Marvel.
    Dans le même temps, j’ai bien aimé la dimension donnée par les grandes plaines, les paysages et autres. « National Geographic », je te trouve dur, dans un western tout le monde aurait trouvé ça magnifique. Cela recentre le film et la créature sur son côté sauvage, primal, bestial quoi. Très réussi pour moi.
    Bon sinon je comprends ta réticence au numérique, c’est vrai que c’est un peu moche ces bestioles. Mais le grizzli est assez réussi et puis, il faut s’y habituer, nous ne verrons plus jamais de vraies bestioles à l’écran (trop dangereux, trop compliqué, pas écolo,…).
    Et pour l’inspecteur gadget, le Predator a toujours été suréquipé, c’est cela qui est intéressant. Au départ on identifie sa puissance à son côté animal, mais en fait ça n’est qu’un gros bourrin de chasseur surarmé, un peu comme les hommes blancs en fait. Et oui, une dimension sociale par-dessus tout ça et la recette m’a conquis. Bref, les goûts et les couleurs, comme le dit ton lecteur Olivier plus haut. C’est comme pour le Predator, tout dépend du filtre de ton masque.

    PS : à cause de toi j’ai la musique du générique de Inspecteur Gadget dans la tête pour la soirée ; )

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    • Tu n’as pas complètement tort en ce qui concerne le visuel du film. Là où je trouve la nature magnifiquement saisie dans « The Revenant » par exemple, je la trouve aseptisée ici. Peut-être parce qu’il m’est apparu que Trachtenberg lorgnait plus souvent qu’à son tour sur ce modèle sans en avoir le brio. Idem pour les trappeurs qui sont tout de même des caricatures d’abrutis. Et le grizzli est peut-être bien fait mais il n’est pas plus malin que les trappeurs. Et le loup, je n’en parle même pas. Je t’avoue que ça m’a sorti du film.
      Je comprends aussi ton point de vue concernant le Predator. C’est vrai qu’il est le symbole du chasseur équipé pour dominer sa proie. C’est d’ailleurs ce qui était passionnant dans le premier où il affrontait seul une troupe de guerriers chevronnés et bien armés. Et à la fin, les deux adversaires se dépouillaient de leur équipement pour un affrontement (presque) d’égal à égal, espèce contre espèce. Et c’était formidable, mais inutile de de vouloir reproduire l’idée.
      D’une certaine manière, le concept du « Predators » de Nimrod Antal, avec son lot d’adversaires choisis, n’était pas inintéressant mais le développement ne menait nulle part. Difficile de retrouver l’alchimie qui avait fait du film de McTiernan un grand film.
      Je ne conteste pas l’aspect dynamique de « Prey », qui ne s’encombre pas de fioritures, qui resserre son propos sur un récit initiatique et donne sa place aux personnages dans ce format de scénario recentré. Le souci est que le contexte choisi (une tribu Comanche au début du XIXème siècle) n’apporte foncièrement rien de neuf. Ils auraient pu larguer leur Predator à l’époque des Vikings, dans le Japon des Samouraïs ou au milieu des dinosaures, le résultat aurait été le même. Cette déclinaison est un leurre. En fait, la « Prey », c’est le spectateur qui se fait avoir à mon sens.

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      • N’est ce pas là le propos même du cinéma depuis ses origines : tromper le spectateur ? Quant à ton pronostic de Predator vs vking ou samouraï, je ne serais pas étonné que face au bon score du film, on ait prochainement droit à une série sur le sujet…

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        • Très juste, mais je préfère être trompé en bien.
          Je suis sévère mais le film n’est pas une purge, loin s’en faut. Il se regarde sans déplaisir, et plutôt mieux que le film d’Antal (malgré ses ambitions scénariques).
          Il me donne envie de réhabiliter le premier « Alien vs Predator » qui avait aussi de bonnes idées dans son genre. 😉

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  6. Je te l’avais dis, malgré tout, très bel article même si tu es bien moins emballé que moi.
    Tu parles avant tout de la prestation d’Amber Midthunder, mais Dakota Beavers est très bon aussi (tu le soulignes très rapidement). Je trouve du coup que les deux personnages sont plutôt attachants et fonctionnent à l’écran.
    Là où par contre on va se rejoindre sans souci je pense, c’est que toute cette faune numérique. C’est dommage, surtout que certains effets sont bien ratés, même si au moins il y a une intention narrative derrière (faire remonter la chaîne alimentaire au Predator).

    Mais je persiste et signe, tu aurais dû te refaire l’intégrale avant de te lancer dans Prey (et surtout le moyennasse Shane Black). Ce dernier opus te serait apparu comme une bouffée d’air frais haha !

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    • Ah, ces bestioles numériques sont tout de même bien nazes. Je ne parle même pas que du rendu qui, il faut bien l’admettre, pourrait passer si leurs réaction n’étaient pas si absurdes. Je pense à l’affrontement avec le loup. N’importe quelle animal dans ce cas précis aurait filé la queue entre les jambes pour échapper au prédateur. Là on a un duel d’orgueilleux totalement improbable. Idem pour le grizzli qui galope derrière tout ce qui bouge. Je ne suis pas un expert en éthologie animale mais tout cela me semble très suspect.
      Aucune excuse en revanche pour les chasseurs blancs (au cœur noir) qui se jettent tous, un par un, dans les griffes du monstre alors qu’ils devraient (comme le faisaient les gars de la bande à Schwarzy) tout faire pour quitter les lieux et sauver leur(s) peau(x). Bref, tout ça ne m’a pas paru bien finaud.
      Ceci dit, tu as raison, les films précédents ne valent pas beaucoup mieux. Un bémol tout de même pour « Alien vs Predator » qui (dans mon souvenir, il faudrait que je relise ma chronique de l’époque) penche vers un bis généreux, doté d’une ambiance pas inintéressante qui sauve un peu ses nombreux défauts.

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    • Sur le dernier paragraphe, je retire ce que j’ai écrit : je viens de relire mon article sur « AVP » et j’avais trouvé ça désastreux (à part la direction artistique et les effets spécieux à l’ancienne). « Prey » doit être quand même beaucoup mieux.

      Bizarrement, j’ai quand même envie de refaire l’Antarctique, histoire de me faire du mal. 🙂

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      • Moi je parle en particulier du rendu pour les animaux, c’est le genre de « détails » où tu te dis que le budget ne devait pas être si énorme, ou alors qu’au dernier moment, les délais se sont resserrés.
        Après, je trouve que le réalisateur s’en sort bien malgré tout, pour filmer l’action et la nature, alors que bon, son précédent métrage (que j’avais beaucoup aimé aussi), ben c’était un huis clos, soit l’opposé de PREY.

        Revoir Alien VS Predator de Paupaul ???? Grand fou va ! Je n’ai jamais écris dessus remarque de mon côté, une séance de « rattrapage » (donc torture) devrait voir le jour histoire de faire l’intégrale des sagas ! Mais de mémoire, oui, la direction artistique est pas mauvaise, quelques scènes et moments iconifiés ne sont pas mauvais, mais à côté, il y a le scénario, les personnages, les CGI, le film en fait.

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  7. Pour le coup, ce fut une excellente surprise pour moi, pas tant pour le rapport à la franchise d’ailleurs ! J’ai surtout été bluffée par la performance de cette actrice extraordinaire et aussi, en grande partie, pour la mise en avant de cette culture, que j’ai trouvé très justement traitée, notamment pour son rapport à la nature…

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  8. Pas du tout convaincu par ce Prey qui ne semble trouver grâce aux yeux du public que par la médiocrité des précédents opus mettant en scène notre bien-aimé Predator. Un trop plein d’effets numériques, des combats tellement chorégraphiés qu’ils en deviennent risibles. J’ai lu plus haut, le « danger » de nous voir proposer une série « historique » du Predator à travers les âges. Commençons dès maintenant par celui-ci : https://www.youtube.com/watch?v=YRD8jAk274I&t=624s&ab_channel=TheFILMMAKERSGuidetotheGalaxy

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